A Jérémie.
Je commencerais par un paragraphe du livre « Ma vie » de Carl Gustav Jung page 215;
Tandis que je rédigeais ces phantasmes , je me demandais un beau jour
« Mais qu’est ce que je fais ? Tout cela n’a surement rien a voir avec de la science. Alors, qu’est ce que c’est ? »
Une voix dit alors en moi : « c’est de l’art. »
https://www.hypnoanalyste-jungien.com/
Carl Gustav Jung découvre que l’inconscient utilise à l’état diurne, indépendamment de la conscience le langage imagé, mais aussi le langage verbal (dénommé dialogue intérieur, monologue intérieur, endophasie ou hallucination auditive verbale, dans le cas particulier des psychoses.
Et que bien plus il dispose de la faculté d’émettre des jugements, des opinions, qu’il interprète nos actions, et surtout qu’il est à l’origine de toutes les idées de toutes nos pensées. A l’aube du XXI éme siècle que nous dise les neurosciences grâce à la neuro imagerie, sur cette faculté d’entendre des voix, et d’émettre des opinions, qui a passionné au cours de l’histoire de l’humanité tant de personnes et de scientifiques . Je vais modestement essayer de montrer que d’entendre des voix, est peut être considéré comme nous l’a démontré Jung, naturel dans le sens ou l’élaboration du langage imagé et verbal, est produit par l’ inconscient via le cerveau, avant de parvenir à la conscience.
- Que bien plus ces voix, ces images, ces symboles nous influencent dans des proportions considérables dans nos choix de vie.
- Que la conscience occidentale doit développer son libre arbitre, son droit de veto pour accéder à la vraie liberté au sein d’une démocratie.
- Pour Carl Gustav Jung l’inconscient personnel, mais surtout l’inconscient collectif se situent au niveau du cerveau.
Les neurosciences sont elles solubles, avec les découvertes de Carl Gustav Jung du début du XX éme siècle.
Je vais décrire un résumé de cette fabuleuse aventure intérieure.
Mais surtout que Carl Gustav Jung a raison, entendre des voix n’est pas un signe de maladie mentale.
« L’Homme à la découverte de son âme » publié en 1963
[Notre conscience contemporaine n’est qu’un petit enfant qui commence à peine à dire «je».]
La voie de l’individuation est le retrait des projections